Travail calligraphique débuté en Avril 2020, durant le confinement. La musique est un « fluide qui nourrit ma tige ». Ici, mes oreilles s’empiffrent d’Odezenne, m’effaçant ainsi devant la feuille. J’aime cet oubli de soi lorsque j’écoute, j’écris, je peins. Il ne reste alors qu’une présence subtile, celle de la main sinueuse et intuitive guidée par la poésie fredonnée.
Encre de Chine sur papier.