Prendre un pinceau, un peu d’encre, et laisser glisser. Devenir fluide pour nourrir la tige. Ma tige.
Mon tronc. Laisser glisser et se recentrer sur l’essentiel, le mouvement. La vie. Une chorégraphie embryonnaire est née ce jour-là.
« Il me faut aller ni lentement,
ni vite, en trouvant l’allure juste qui convienne à la main et corresponde au coeur. Il y a là quelque chose qui ne peut s’exprimer par les mots. »
F.Verdier, Passagère du silence.